Le soir, je cours pour rejoindre ma colline.

Le couché du soleil ne m’attend pas, et je ne peux pas me permettre de rater ce rendez-vous important. Le clocher de St Marc est bancal, la tour de la part dieu disproportionnée, mais le ciel, lui, ne m’a pas déçu.



Ce qui est rassurant, c’est que j’ai toute ma vie pour réussir ce paysage. Donc, pas d’affolement. Celui-ci est sans doute le premier d’une longue série.

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